Juste Heddy

Du 19 au 20 mai 2020
La Halle Michel Drucker
Annulé
Juste Heddy
Juste Heddy
Juste Heddy

Danse

TEXTE ET MISE EN SCÈNE
Mickaël Phelippeau

Durée

1h

Représentations

- Halle Michel Drucker à Vire
- Halle Michel Drucker à Vire
- Halle Michel Drucker à Vire

TARIFS
Tarif Plein 10€, Tarif Réduit 5 €

« (…) tout se complique quand tu d’viens adolescent,
Faut du zeille et j'suis pris entre deux feux incandescents.
Tout s'accélère, j'ai des problèmes scolaires,
Pas parce que j'suis con mais parc’ qu'il me faut un salaire. »

Les paroles de la chanson « Allo Maman Bobo » d’Algérino, rappeur marseillais, résume pour une part la vie d’Heddy Salem, jeune homme d’une vingtaine d’années, né dans les quartiers Nord de Marseille.

Alors qu’Heddy venait de découvrir le théâtre, le chorégraphe Mickael Felippeau le rencontre lors d’un atelier qu’il donne à de jeunes comédiens en janvier 2016. Il est bouleversé par sa personnalité brute et sensible. C’est avec le désir de creuser cette rencontre que nait ce portrait chorégraphique en solo. Ce sera entre autres l’occasion d’aborder la relation qu’Heddy entretient à ses racines et à sa famille.

L’occasion également de se confronter à un parcours de vie composite, dans lequel l’armée a été un virage important. Son rapport au mouvement en est pétri, nourrissant une physicalité rigoureuse, énergique et sans fioritures, alimentée par une grande pratique de la boxe.

Distribution

PIÈCE CHORÉGRAPHIQUE DE
Mickaël Phelippeau

AVEC
Heddy Salem

DRAMATURGIE
Anne Kersting

LUMIÈRE
Abigail Fowler

SON
Éric Yvelin

REGARD EXTÉRIEUR
Marcela Santander Corvalán

Production

CRÉATION 2019
bi-p

Production, diffusion, administration Manon Crochemore, Manon Joly et Isabelle Morel | Coproduction Le Merlan, Scène nationale de Marseille / CCN de Caen en Normandie | Avec le soutien de l’Institut français de Casablanca dans le cadre de son programme de résidences artistiques et culturelles 2017 et de KLAP Maison pour la danse à Marseille | Photo ©PhilippeSavoir

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La presse en parle

« Pour raconter "ses ados", le procédé est toujours le même : leurs tubes, leurs gestes, leurs mots, et les trois réunis donnent toujours des tranches de vie à l'émotion partagée. »

Toutelaculture.com, Amélie Bleunstein